BORDES Pierre 78ème d'Infanterie
Disparu le 28 août 1914 à Raucourt (Ardennes) (Raucourt-et-Flaba code insee 08354)
BARBAZANGE Martial 1er zouaves
Disparu le 17 septembre 1914 à Carlepont (Oise) code insee 60129
NOUAILLES Léonard 85ème d'Infanterie
Mort pour la France le 5 décembre 1914 à St Mihiel (Meuse) code insee 55463
NOUAILLES Jean 153ème d'Infanterie
Mort pour la France le 14 décembre 1914 à Vlamertinghe (Belgique)
RAFFY Barthélémy 300ème d'Infanterie
Mort pour la France le 23 septembre 1915 à Thélus (Pas-de-Calais) code insee 62810
VIALLE Léon 100ème d'Infanterie
Disparu le 19 octobre 1918 au Nord-Est de Vouziers (Ardennes) code insee 08490
http://fr.wikipedia.org/wiki/Listes_des_communes_de_France
http://ww1cemeteries.com/ww1cemeteries/vlamertinghenewmilitarycemetery.htm
Vlamertinge fusionné avec Ieper (Ypres)
Stadsbestuur Ieper,
Stadhuis Grote
Markt 34,
B-8900 Ieper
Tel:057 239 200
communicatie@ieper.be
Vlamertinge. Ce village se trouve sur la Poperingseweg. (* Vlamertinge s'écrivait autrefois Vlamertinghe.)
À partir du centre-ville d'Ypres, rendez-vous sur la Poperingseweg (N30 par la Elverdingsestraat en passant au-dessus de deux petits carrefours giratoires sur la J. Capronstraat. La Poperingseweg est le prolongement de la J.Capronstraat et débute après un important passage à niveau.
Les archives de Vlamertinge se trouvent à Ieper(Ypres)dont voici l'adresse e-mail:
archief@ieper.be
http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/
http://www.memorial-genweb.org/~memorial2/html/base1418/
la mention "Mort pour la France" a été créée par la loi du 02 juillet 1915 modifiée par la loi du 28 février 1922. Elle est indiquée en mention marginale sur les actes de décès dans des cas bien précis définis par arrêté :
D’un militaire des armées de terre, de mer ou de l’air tué à l’ennemi ou mort de blessures de guerre ;
D’un militaire mort de maladie contractée en service commandé en temps de guerre ;
D’un militaire mort d’accident survenu en service, ou à l’occasion du service en temps de guerre ;
D’un marin du commerce, victime d’événements de guerre ;
De tout médecin, ministre du culte, infirmier ou infirmière des hôpitaux militaires et des formations sanitaires, ainsi que de toute personne ayant succombé à des maladies contractées au cours de soins donnés aux malades et blessés de l’armée en temps de guerre ;
De toute personne décédée en combattant pour la libération de la France ou en accomplissant des actes de résistance ; De toute personne exécutée à la suite d’une condamnation résultant de mesures d’exception prises par l’autorité de fait se disant gouvernement de l’État français, notamment par application des actes dits lois des 24 avril 1941, 7 septembre 1941, 7 août 1942, 8 septembre 1942, 5 juin 1943 et 20 janvier 1944, en raison de leur attitude pour la cause de la libération ;
De tout otage, tout prisonnier de guerre, toute personne requise par l’ennemi, tout déporté, exécutés par l’ennemi ou décédés en pays ennemi ou occupé par l’ennemi des suites de blessures, de mauvais traitements, de maladies contractées ou aggravées ou d’accidents du travail survenus du fait de leur captivité ou de leur déportation ;
De toute personne décédée à la suite d’actes de violence constituant une suite directe de faits de guerre ;
De tout militaire décédé dans les conditions visées aux 1er, 2ème et 3ème alinéas après avoir été incorporé de force ou après s’être engagé sous l’empire de la contrainte ou la menace de représailles dans les armées ennemies ;
De tout réfractaire décédé des suites d’accident, maladie ou blessure consécutifs à sa position hors la loi et pour le service du pays ;
(Loi N° 55-356 du 3 avril 1955, art, 21), de tout membre des forces armées françaises, de la gendarmerie, de la garde mobile, des compagnies républicaine de sécurité, du service d’ordre, ou des éléments engagés ou requis, tombé en service commandé à L’occasion des mesures de maintien de l’ordre sur les territoires de l’Union française situés hors de la métropole et dans les Etats protégés par la France.
(voir le code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre - articles L.488 à 492)
Il appartient aux familles d’en solliciter l’attribution, sauf dans le cas de combattants tués lors de combats. L’absence de démarche familiale explique qu’il est difficile de se référer à la mention pour établir avec précision un bilan des victimes civiles, par exemple dans le cas d’un bombardement pendant la deuxième guerre.
Le site Memorial-GenWeb http://www.memorial-genweb.org/html... précise que "deux décrets (30 mai 1921 et 16 juillet 1947) autorisent les municipalités à accorder, à titre d’hommage public, des concessions perpétuelles et gratuites dans leurs cimetières pour l’inhumation des soldats dont l’acte de décès porte la mention « Mort pour la France »."
http://www.memoire-net.org/article.php3?id_article=143